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Votre Formation Vous a Programmé pour l'Échec: Les 5 Croyances Toxiques Enseignées dans les Écoles

Osez libérer votre potentiel thérapeutique en déjouant les 5 croyances toxiques que votre formation a peut-être gravées en vous. Transformez vos freins en forces grâce à des témoignages inspirants et un protocole clair pour reprendre le contrôle de votre carrière. Plongez dans une nouvelle vision qui allie passion et succès réel.
Théo Gorbinkoff
Créé le :
May 31, 2025
Mis à jour le :
June 23, 2025

Sommaire

Temps de lecture :
13min

En tant qu'ostéopathe ayant ouvert mon cabinet immédiatement après l'obtention de mon diplôme, j'ai découvert à mes dépens que certains des enseignements les plus profondément ancrés durant ma formation étaient en réalité des programmations limitantes. Ces croyances, loin de me préparer à la réalité du terrain, m'avaient inconsciemment programmé pour l'échec.

Ce constat, partagé par de nombreux thérapeutes que j'accompagne, m'a conduit à identifier cinq croyances toxiques particulièrement répandues dans nos formations. Des croyances qui, une fois dépassées, peuvent libérer votre potentiel et transformer radicalement votre pratique.

Croyance toxique #1: "Un bon thérapeute n'a pas besoin de se promouvoir"

Cette première croyance est sans doute la plus pernicieuse car elle associe subtilement l'idée de promotion à quelque chose de moralement discutable.

La programmation en œuvre:

Durant notre formation, on nous inculque que:

  • La qualité des soins devrait "parler d'elle-même"
  • Se mettre en avant serait une forme de vanité
  • La discrétion et l'humilité sont des vertus cardinales du thérapeute
  • Le bouche-à-oreille naturel est le seul mode de développement "noble"

Quentin, ostéopathe à Paris, témoigne de cette programmation: "Au début, j'avais quand même pas mal de jugement. Je me suis dit, quand même, il sort d'école et la prétention de se dire je peux faire tourner un cabinet, elle était quand même très forte."

Cette attitude critique envers la visibilité reflète parfaitement cette croyance limitante transmise pendant la formation.

Les conséquences réelles:

Cette programmation crée un conflit interne profond entre votre besoin légitime de développer votre activité et votre identité de "bon thérapeute". Les conséquences sont lourdes:

  • Une invisibilité chronique qui limite votre impact thérapeutique
  • Une culpabilité paralysante lorsque vous tentez de vous rendre visible
  • Une communication incohérente et inefficace
  • Une précarité financière qui érode progressivement votre passion

Comme l'exprime Cannelle, ostéopathe: "J'avais une page Facebook, mais je ne savais pas quoi en faire, donc elle existait. Mais je ne mettais rien dessus, une fois tous les six mois, parce que je ne savais pas trop comment communiquer dessus."

Cette hésitation n'est pas un simple manque de compétence technique – c'est le reflet d'un blocage plus profond créé par cette croyance toxique.

La reprogrammation libératrice:

La véritable éthique thérapeutique ne réside pas dans l'invisibilité mais dans l'authenticité et l'impact. Une approche plus constructive consiste à:

  1. Faire la distinction entre visibilité éthique et promotion agressive
  2. Il existe une différence fondamentale entre informer les patients potentiels de votre existence et faire des promesses exagérées.
  3. Reconnaître que l'invisibilité nuit aux patients potentiels
  4. Des personnes qui pourraient bénéficier de vos soins ne vous trouveront jamais si vous restez invisible.
  5. Comprendre que la visibilité amplifie votre impact
  6. Plus vous êtes visible pour les bonnes personnes, plus votre impact thérapeutique global sera important.

Quentin a vécu cette transformation: "Un des premiers trucs que j'ai appris, c'était la différence entre de la vente et de la visibilité. Et déjà, je me suis dit, OK, déjà, ça, c'est très différent et qu'on peut arriver complètement à se mettre devant."

Pour approfondir cette distinction cruciale, consultez notre article sur le syndrome du thérapeute invisible.

Croyance toxique #2: "Les premières années sont nécessairement difficiles"

Cette croyance est présentée comme une vérité universelle et incontestable: tout thérapeute doit passer par une période prolongée de galère avant d'atteindre la stabilité.

La programmation en œuvre:

Durant notre formation, on nous martèle que:

  • Il faut "3 à 5 ans" pour développer une patientèle viable
  • La période d'installation est une forme d'initiation nécessaire
  • L'impatience est un signe d'immaturité professionnelle
  • Les difficultés financières font partie du parcours normal

Axelle, ostéopathe récemment installée, a intériorisé cette programmation: "J'ai fait ce qu'on nous avait dit à l'école, donc je m'étais fixée sur le fait que pendant au moins trois ans, ça allait être galère."

Les conséquences réelles:

Cette programmation est particulièrement insidieuse car elle:

  • Normalise la précarité prolongée comme inévitable
  • Décourage l'adoption de stratégies proactives de développement
  • Crée une résignation passive face aux difficultés
  • Pousse de nombreux thérapeutes talentueux à abandonner prématurément

Stéphane, ostéopathe depuis 2012, partage cette observation: "Quand je me suis installé, j'ai rencontré un médecin-pharmacien autour de chez moi avec l'ancienne carte de visite. J'avais très peu de créneaux à proposer en semaine. J'avais mon petit rythme de croisière."

Cette approche traditionnelle et passive l'a maintenu dans une croissance lente pendant des années.

La reprogrammation libératrice:

La réalité est que de nombreux thérapeutes développent des pratiques florissantes en quelques mois, non en années. Une approche plus constructive consiste à:

  1. Reconnaître que la vitesse de développement dépend de votre stratégie, non du temps
  2. Des approches adaptées au contexte actuel peuvent accélérer considérablement votre croissance.
  3. Refuser la normalisation de la précarité
  4. La difficulté prolongée n'est pas un passage obligé mais souvent le signe d'approches inadaptées.
  5. Adopter une mentalité proactive et orientée résultats
  6. Des objectifs clairs et des stratégies délibérées peuvent transformer radicalement votre trajectoire.

Axel, ostéopathe à Nîmes, démontre l'efficacité de cette reprogrammation: "J'ai une moyenne de 18 patients par semaine, l'objectif étant 25. On s'y rapproche tout doucement. Sachant qu'il y a des semaines où je les ai fait, dont la semaine dernière où j'ai fait 28 patients."

Ce résultat obtenu en seulement deux mois dans une nouvelle ville prouve que les "années difficiles" ne sont pas une fatalité.

Pour explorer davantage cette remise en question des dogmes traditionnels, consultez notre article sur la tyrannie du bouche-à-oreille.

Croyance toxique #3: "Un bon thérapeute doit être généraliste"

Cette croyance, profondément ancrée dans la formation, valorise le thérapeute capable de "tout traiter" au détriment de la spécialisation.

La programmation en œuvre:

Durant notre formation, on nous enseigne que:

  • Un vrai thérapeute doit savoir traiter tous les patients
  • La spécialisation est une limitation ou un aveu de faiblesse
  • Le "vrai savoir-faire" se démontre dans la polyvalence
  • La diversité des cas est nécessaire à l'épanouissement professionnel

Les conséquences réelles:

Cette valorisation excessive du généralisme crée plusieurs problèmes concrets:

  • Une difficulté à se différencier dans un marché saturé
  • Une communication diluée qui parle à tout le monde mais ne résonne avec personne
  • Une progression plus lente dans la maîtrise technique
  • Un manque d'attractivité pour les patients recherchant une expertise spécifique

Angélique, sophrologue, décrit parfaitement le piège du généralisme: "Quand on sort d'une formation, on a envie d'accompagner tout le monde, sauf qu'en fait, vouloir accompagner tout le monde, c'est parler à personne."

La reprogrammation libératrice:

L'excellence thérapeutique moderne passe souvent par une forme de spécialisation, au moins dans la communication si ce n'est dans la pratique. Une approche plus efficace consiste à:

  1. Reconnaître que la spécialisation renforce votre impact
  2. Une expertise plus profonde dans certains domaines permet des résultats plus significatifs.
  3. Comprendre que la spécialisation attire plus de patients qu'elle n'en repousse
  4. Un positionnement clair crée une attraction puissante pour les patients concernés.
  5. Réaliser que la spécialisation accélère votre courbe d'apprentissage
  6. La concentration sur certains types de cas vous permet de progresser plus rapidement.

Angélique a vécu cette transformation: "Je me suis spécialisée sur quelque chose qui me touchait vraiment, parce que c'est quelque chose auquel moi, j'ai dû faire face. [...] Quand je me suis spécialisée, c'est là où j'ai atteint un premier palier."

Ce "palier" représente la libération du potentiel qui était entravé par la croyance en la nécessité du généralisme.

Pour approfondir cette perspective, consultez notre article sur la spécialisation radicale.

Croyance toxique #4: "L'argent est un sujet tabou en thérapie"

Cette croyance crée un rapport malsain à l'aspect économique de notre profession, en l'entourant de non-dits et de malaise.

La programmation en œuvre:

Durant notre formation, on nous inculque subtilement que:

  • Parler d'argent "pollue" la relation thérapeutique
  • Les considérations financières sont secondaires ou superficielles
  • La vocation doit primer sur la rémunération
  • Un "vrai thérapeute" ne devrait pas être motivé par l'argent

Les conséquences réelles:

Cette programmation crée un rapport malsain à l'aspect économique de notre activité:

  • Une difficulté à parler sereinement de vos tarifs
  • Une tendance à la sous-facturation chronique
  • Une culpabilité lors des revalorisations tarifaires
  • Une instabilité financière qui impacte la qualité des soins

Philippe, ostéopathe, constate les conséquences de cette méconnaissance: "Beaucoup de gens aussi qui pensent que quand on est, entre guillemets, thérapeute, en gros, tout ce qu'on va toucher d'une séance, des séances qu'on fait, ça va tomber un peu dans notre poche, sauf qu'en fait, il y a des cotisations sociales. Avant de récupérer quelque chose, il faut d'abord payer un certain nombre de choses."

Cette illusion sur les aspects économiques est directement liée au tabou qui entoure l'argent dans notre formation.

La reprogrammation libératrice:

Un rapport sain à l'argent est essentiel pour une pratique épanouissante et durable. Une approche constructive consiste à:

  1. Reconnaître que la stabilité financière est une condition de l'excellence thérapeutique
  2. Un thérapeute préoccupé par ses fins de mois ne peut être pleinement présent pour ses patients.
  3. Comprendre que la valeur de vos services mérite une juste rémunération
  4. La sous-facturation n'est pas de l'altruisme mais souvent le reflet d'un manque d'estime de votre valeur.
  5. Développer un discours serein et transparent sur les aspects financiers
  6. Le malaise vient généralement du thérapeute, pas du patient.

Quentin témoigne de cette évolution: "Le cabinet seul, il était autour de... 3 000, 4 000, c'est ça, 2000 €. Et là, je suis passé à plus de 6 000 €. [...] En fait, ça t'apaise et tu dors mieux. Ça améliore aussi carrément ta qualité de praticien."

Cette tranquillité financière, loin de compromettre sa qualité thérapeutique, l'a en fait améliorée.

Pour explorer cette dimension économique souvent négligée, découvrez notre article sur le grand mensonge de la passion.

Croyance toxique #5: "La technologie est secondaire en thérapie"

Cette dernière croyance minimise l'importance cruciale des outils numériques dans la pratique thérapeutique moderne.

La programmation en œuvre:

Durant notre formation, on nous laisse entendre que:

  • L'essentiel se passe dans la relation directe thérapeute-patient
  • Les outils numériques sont accessoires ou superficiels
  • La "vraie thérapie" est avant tout manuelle/relationnelle
  • Les méthodes traditionnelles ont fait leurs preuves et restent supérieures

Les conséquences réelles:

Cette dévaluation de la dimension technologique crée un décalage problématique avec la réalité actuelle:

  • Une présence digitale insuffisante ou incohérente
  • Une difficulté à répondre aux attentes des patients modernes
  • Un retard technologique qui complexifie la gestion administrative
  • Une invisibilité dans les canaux où les patients cherchent aujourd'hui

Quentin illustre parfaitement ce décalage: "Plus personne ne regarde une plaque dans la rue, ça n'existe plus. Les gens actuellement dans la rue regardent surtout leur téléphone. Donc la visibilité se retrouve dans le numérique, et c'est quelque chose qui n'est pas du tout appris dans les écoles."

La reprogrammation libératrice:

La technologie n'est plus une option mais une dimension essentielle de la pratique thérapeutique moderne. Une approche plus adaptée consiste à:

  1. Reconnaître que le parcours patient commence généralement en ligne
  2. Avant même de vous rencontrer, la majorité des patients vous ont "googlé".
  3. Comprendre que les outils numériques amplifient votre impact thérapeutique
  4. Ils permettent un suivi plus régulier, une éducation thérapeutique continue et une meilleure adhésion.
  5. Voir la technologie comme une extension de votre pratique, non comme sa concurrente
  6. Les outils numériques complètent et renforcent votre approche thérapeutique.

Stéphane témoigne de cette révélation: "Le Game Changer, nous, c'était Google Ads. En fait, j'ai découvert cet été, je me suis fait un super copain avec Gemini. Et en fait, quand tu vois le pouvoir de ce truc-là, c'est magique."

Cette adoption enthousiaste des outils numériques a complètement transformé sa pratique.

Le coût caché de ces programmations limitantes

Ces cinq croyances toxiques ne sont pas simplement des idées abstraites – elles ont un impact concret et mesurable sur votre développement professionnel:

Ces coûts se cumulent et s'amplifient mutuellement, créant ce que j'appelle "l'écart de réalisation thérapeutique" – la différence entre votre impact potentiel et votre impact réel.

Des thérapeutes libérés de ces programmations: témoignages de transformation

Ces croyances limitantes ne sont pas des fatalités. De nombreux thérapeutes ont réussi à s'en libérer, avec des résultats remarquables:

Axelle: De la résignation à l'autonomie

"Par semaine, j'étais entre 6 et 8 patients. Et maintenant, je suis plus entre 15 et 25. En fait, sur le mois, j'ai doublé."

Sa libération des croyances sur la "période difficile" inévitable et sur le tabou de la visibilité lui a permis de transformer sa pratique en quelques mois.

Quentin: De l'appréhension à la maîtrise entrepreneuriale

"En février, je suis passé de 50 à plus de 90 patients par mois. Et en fait, par rapport à 2023, on double le CA. Voilà, littéralement, c'est du fois deux."

En dépassant ses préjugés sur le marketing et en embrassant la dimension technologique, il a complètement transformé sa trajectoire professionnelle.

Angélique: Du généralisme à la spécialisation épanouissante

"Là où j'étais à peu près une dizaine en simultané, je suis passée à un peu plus d'une vingtaine en parallèle. Donc j'ai un peu plus que doublé."

Sa décision de remettre en question l'idéal du généraliste et d'assumer pleinement sa spécialisation a été le tournant de sa pratique.

Comment vous déprogrammer: le protocole L.I.B.R.E

Se libérer de ces programmations limitantes est un processus qui demande conscience et méthode. Voici le protocole que j'ai développé pour mes accompagnements:

L - Lucidité face aux croyances

La première étape consiste à identifier clairement les croyances limitantes qui vous influencent:

  • Quelles phrases entendues pendant votre formation résonnent encore en vous?
  • Quelles "règles non écrites" guidez-vous sans les questionner?
  • Quels comportements vous semblent "interdits" ou "impensables" sans raison claire?

I - Interrogation des sources

Examinez l'origine et la validité de ces croyances:

  • D'où vient réellement cette idée?
  • Sur quelles preuves concrètes repose-t-elle?
  • Qui bénéficie du maintien de cette croyance?
  • Quelles contre-preuves pouvez-vous observer autour de vous?

B - Bilan des impacts

Évaluez honnêtement l'impact de ces croyances sur votre pratique:

  • Comment cette croyance limite-t-elle votre développement actuel?
  • Quelles opportunités avez-vous manquées à cause d'elle?
  • Quel serait votre cabinet sans cette limitation?
  • Comment affecte-t-elle votre bien-être et votre équilibre?

R - Reprogrammation constructive

Remplacez activement les croyances limitantes par des perspectives constructives:

  • Formulez une nouvelle croyance alignée avec vos valeurs et ambitions
  • Cherchez des modèles qui incarnent cette nouvelle perspective
  • Créez des affirmations positives qui renforcent cette nouvelle programmation
  • Associez des émotions positives à cette nouvelle vision

E - Expérimentation progressive

Mettez en pratique ces nouvelles perspectives par des actions concrètes:

  • Identifiez une petite action qui défie l'ancienne croyance
  • Documentez les résultats de cette expérimentation
  • Augmentez progressivement l'ampleur de vos actions
  • Célébrez chaque victoire qui confirme votre nouvelle perspective

Ce processus n'est pas instantané, mais chaque étape vous rapproche d'une pratique plus libre et plus épanouissante.

Vers une formation thérapeutique plus équilibrée

Cette analyse critique ne vise pas à dévaluer notre formation clinique, qui reste généralement excellente dans sa dimension technique et thérapeutique. Elle invite plutôt à un équilibre plus sain entre l'acquisition de compétences cliniques et la préparation aux réalités entrepreneuriales de notre profession.

Une formation thérapeutique véritablement complète devrait intégrer:

  • Une préparation entrepreneuriale réaliste
  • Des compétences en communication et marketing éthique
  • Une compréhension des aspects économiques de la pratique
  • Une familiarisation avec les outils numériques essentiels
  • Une réflexion sur le positionnement professionnel

Comme le constate Angélique: "On nous apprend à être thérapeute, mais on ne nous apprend pas à être chef d'entreprise. Et c'est quand même hyper important."

Conclusion: de la programmation à la souveraineté thérapeutique

Les croyances toxiques inculquées pendant notre formation ne définissent pas notre destin professionnel. En prenant conscience de ces programmations limitantes et en choisissant délibérément de les dépasser, vous pouvez libérer votre potentiel thérapeutique et entrepreneurial.

Ce processus de libération n'est pas une trahison de votre formation ou de vos valeurs – c'est au contraire leur expression la plus complète. Un thérapeute libéré de ces limitations peut avoir un impact plus profond, toucher plus de vies, et incarner plus pleinement sa vocation.

Comme le résume parfaitement Lucas: "Je préfère travailler très intensément pendant un certain temps et après prendre des vacances. Mais surtout, j'ai des idées d'avenir et en fait, l'idée d'avenir, du coup, elle arrive. Donc ça, c'est chouette. C'est génial."

Cette liberté retrouvée, cette capacité à envisager l'avenir avec optimisme et ambition, est le signe d'un thérapeute qui a dépassé les programmations limitantes pour atteindre ce que j'appelle la "souveraineté thérapeutique".

Pour explorer plus profondément cette vision d'un thérapeute pleinement épanoui et impactant, je vous invite à découvrir notre manifeste du thérapeute souverain.

Vous reconnaissez-vous dans certaines de ces programmations limitantes? Contactez-nous pour un accompagnement personnalisé dans votre processus de libération et de développement professionnel.